Gardant pour la fin le Mode affichage GRAPHIQUE, la fonction relative aux Informations complémentaires livre diverses informations variées par l’entremise de deux pages d’écran. Les développements qui suivent sont des plagiats copiés sans vergogne en page 8 de 
.
On alterne entre les deux possibilités par des clics longs ou courts sur l’un des deux boutons du clavier. En standard le bouton central du capteur rotatif fait passer à la représentation graphique. La rotation du capteur « nous déplace » en amont ou en aval dans la liste du menu de base. L’entrée dans ce mode ce fait sur la page représentée en Fig.26 avec dans le cadre jaune en 1 ou en 3 la date relative aux diverses informations affichées. Attention, si l’on vient par rotation horaire de Position du Soleil. (En temps réel.), c’est la date actuelle qui sera prise en compte. Si par rotation inverse on part de Position simulée dans l’exploration du menu de base, c’est la date simulée qui déterminera les valeurs affichées. Vous avez du reste bien compris que ce protocole est général à presque toutes les pages affichées. Si l’année est bissextile comme c’est le cas sur la Fig.27, un « B » est affiché comme visualisé en 4, sinon en 2 la zone carrée réservée à cette information est vide et barrée.
En 5 est indiquée la durée de la nuit théorique, avec en 6 la durée de la clarté diurne. Ce sont des durées qui tiennent compte du type imposé pour la nature de l’aurore et du crépuscules. Elles sont calculées à partir du lever et du coucher du Soleil. Entre les deux types extrêmes, on trouve un écart qui peut varier considérablement. Par exemple pour le solstice d’été le 21 Juin, la différence de durée atteint 4 heures 55min et 19 secondes, autant pour la durée de la clarté que celle de la nuit. On comprend alors aisément pourquoi l’été on doit attendre tard dans la nuit pour pouvoir observer des objets faiblement visibles, l’astronomie démontrant une fois de plus qu’elle est vraiment l’école de la patience. En 7 on trouve la position du soleil sur l’écliptique, c’est à dire la constellation qu’il cache et dans laquelle il se trouve actuellement. Il s’agit bien de l’information astronomique, et non de la constellation 
« arbitraire » du zodiaque. Je vous propose de consulter 
en pages 2 et 3 pour réviser cette notion particulière. En 8 figure l’heure actuelle prise en compte officiellement. Comme la date de changement d’heure peut changer de ±3 Jours en fonction des années, pour simplifier le logiciel, c’est la « moyenne » qui est prise en compte. De ce fait, la date de changement peut présenter en fonction des années une imprécision de ±3 Jours maximum. Ensuite, hors de cet intervalle d’incertitude, l’information affichée est rigoureuse. La page de Données diverses en Fig.28 permet à tout moment d’avoir la valeur de la tension soutenue par la pile de sauvegarde en 9 et celle de l’accumulateur d’alimentation en 10. En 11 est indiquée la valeur exacte de la journée solaire vraie avec en 12 la date dans le calendrier Julien. En sois ce n’est pas une information capitale, mais comme on la rencontre souvent dans les traités d’astronomie, pourquoi s’en priver ?
Dans le cadre rouge 13 surchargeant la Fig.28 est résumée sommairement l’origine temporelle de ce calendrier particulier qui débute 4712 années avant notre référence chrétienne.
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