CONCLUSION – FIN

Cher lecteur,

Initialement seule la version « fichiers.PDF » était disponible. C’est en la proposant sur ROBOT MAKER que la forme de pages directement consultables en ligne a été envisagée.
Ce média impose une refonte totale du contenu d’origine, avec obligation d’une relecture complète. AVANTAGE : Durant cette phase particulièrement rébarbative, j’ai détecté une foule considérable de fautes d’orthographes, de syntaxe, de fausses références, de lourdeurs dans le texte, de repères qui dans le texte n’ont pas une couleur identique à celle utilisée dans le dessin …
La version en ligne est purgée de ces verrues, et bien plus propre que la version PDF.
Franchement, je n’ai pas eu le courage de reprendre la version PDF et je vous prie de l’accepter. Si j’avoue cette faiblesse, c’est pour que vous ne soyez pas étonnés de constater parfois de petites divergences entre les informations des deux supports.
Si vous avez un doute, sachez que c’est la version en ligne la plus récente, donc celle à laquelle vous devez accorder le plus de crédit.
Ceci étant précisé, ce ne son vraiment que des détails esthétiques qui ne remettent pas en cause le contenu.

Épilogue, La route n’est pas terminée …

Nous arrivons au terme de ce long périple de l’exploration dans les contrées Arduino sous la canopée du mesurage. Mais toute cette saga n’a été en vérité qu’un prétexte pour apprendre à mieux programmer en C++ de l’IDE. De nombreux domaines, certains relevant des bases élémentaires, d’autres plus pointus, ont été défrichés. On peut presque affirmer que l’intégralité des spécificités du compilateur dédié à l’ATmega328 ont été au rendez-vous. Prétexte aussi à réviser les fondamentaux du mesurage électrique. Et si le « bruit » de cette forêt informatique n’a plus de secrets pour nous, nous nous retrouvons comme le marin qui au bord de la plage observe l’infini mystérieux d’un océan sans limite. L’aventure n’est pas terminée, elle ne fait que commencer. Et tant mieux si ces nombreux cheminements ont débouché sur un faux objectif de réaliser des petits appareils de mesures personnalisés qui ne pourront que nous servir de navires pour repartir à l’aventure, dans cet océan virtuel programmatique qui n’a pas de frontière. Si ces divers didacticiels vous ont donné envie de poursuivre … alors le véritable but non avoué de ces pérégrinations sera pleinement atteint. Et ce n’est certainement pas parce que le sens de déplacement conventionnel du courant électrique supposé aller du plus vers le moins est faux, que les théories qui en découlent sont erronées. La loi d’Ohm qui en dérive est criante de vérité. Ce n’est pas parce qu’un programme est parsemé de petites erreurs de logique non détectées, qu’il aura obligatoirement un comportement aléatoire. Je suis persuadé que si vous décortiquez à la loupe chaque instruction des nombreux croquis qui vous sont proposés, vous découvrirez probablement des incohérences. Et pourtant globalement « ça tourne ». Surtout ne considérez pas ces logiciels comme des modèles absolus. Durant des mois ils ont été triturés, modifiés encore et encore, soit pour des raisons techniques, soit pour des motivations pédagogiques. Ce joyeux brassage a forcément laissé des cicatrices. Alors si vous rencontrez une étrangeté, prenez en compte dans votre analyse qu’il puisse s’agir d’une erreur non corrigée. Prenez la gomme informatique, réécrivez l’instruction et téléversez la nouvelle mouture … vous aurez la réponse.

Que ce long voyage dans le domaine de l’ArduinoMesurage puisse vous apporter autant de plaisir que je n’en ai éprouvé à débroussailler le chemin.

Cordialement : Michel DROUI. (Nulentout sur Internet.)

 

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