17) Le petit circuit imprimé du clavier.

Représenté à grande échelle en page 18 du manuel d’utilisation, le connecteur HE14 coudé pour réaliser l’interfaçage avec le circuit principal est soudé sur le dessous. (Voir la Fig.54) Il n’y a que deux entretoises et deux boulons ØM3 pour assurer la liaison rigide de cette petite plaquette sur le couvercle. C’est largement suffisant. Les deux angles sont dégagés par des chanfreins réalisés à 45°. Comme le circuit est proche du coté droit dans le coffret, ces évidements sont indispensables pour laisser le passage aux deux vis longues qui tiennent le couvercle dans cette zone. Pour faciliter l’alignement transversal des deux boutons poussoir avec les orifices correspondants pratiqués dans le couvercle, les trous de liaison sont oblongs. Notez au passage qu’il serait  bien regrettable de diminuer la fiabilité de notre électronique en branchant accidentellement la fiche F en permutant son orientation. Pour faciliter l’assemblage et prévenir tout risque d’inversion, le coté plus et le coté moins sont repérés en couleur par usage d’un stylo feutre à l’encre indélébile coté cuivre. Présenté sur deux angles différents, la Fig.55 montre que les deux diodes électroluminescentes 2 sont bien des modèles de 5mm de diamètre. Elles sont sur des supports 3 pour pouvoir les changer. Ce n’est qu’une facilité adoptée sur le prototype, car initialement les couleurs à privilégier n’étaient pas vraiment déterminées. Pouvoir tester diverses combinaisons étaient donc bien commode. Vous pouvez vous aussi munir le petit module de tels supports, ce qui éventuellement autorise un alignement plus facile des deux composants par rapport aux orifices de traversée du couvercle, ce n’est toutefois pas vraiment nécessaire. Les deux ponts de câblage qui ne sont pas isolés, car réalisés avec du fil récupéré quand on raccourci des composants tels que des résistances, semblent se toucher en 1. C’est une illusion résultant de l’angle de vue. Dans la réalité il y a un jeu d’au moins un demi millimètre entre les deux connections. Les deux résistances qui limitent le courant dans les LED 2 font 1kΩ. Elles ont été déterminées expérimentalement pour provoquer une clarté très suffisante, tout en minimisant l’énergie consommée sur la pile d’alimentation autonome. Quand l’ensemble revêt l’allure de la Fig.56 la totalité de l’électronique est achevée. Tous les éléments sont interconnectés et chaque section a été testée par programme. À ce stade, il devient logique de réaliser le coffret, et d’intégrer le tout. En version définitive, on relie la ligne USB au P.C. et l’on peut alors procéder au développement « sur site » du logiciel. Durant cette phase la prise 20 est ignorée. Notez au passage la longueur relative des torons 6, 14 et 17 « compactés » avec les gaines 15. Les connecteurs 3 et 10 sont renforcés par les isolements thermo-rétractables 4. Pour la liaison de 17 avec le codeur rotatif 13 les fils 16 sont soudés à angle droit sur le connecteur 12 pour des raisons d’encombrement, renforcer les soudures n’étant

alors pas possible. On retrouve aisément le Buzzer 7, les trous de liaison 8, les deux boutons poussoir 9 et les deux LED 11, simplement insérées sur deux petits connecteurs femelle HE14. À mon sens, la lumière rouge du témoin d’alimentation de la petite platine NANOARDUINO « aveugle » les trois autres petits témoins lumineux. En 5 le composant incriminé a été barbouillée avec du vernis à ongles rose pour tenter de le masquer. Peine perdue, la lumière cohérente « type LASER » traverse sans atténuation. Finalement, j’ai coupé la piste cuivrée qui alimente cette LED ! La présence du +5Vcc est contrôlée par la LED rouge située sur la platine Horloge/Calendrier 22. Situé vers l’arrière du coffret elle ne gène plus, ni les témoins voisins de 5, ni par son éclairement parasite le contraste sur l’afficheur OLED 21. On distingue la pile de sauvegarde 1. Le petit fil 2 dont le picot s’engage dans le connecteur femelle 3 est soudé directement sur 22 en 23. Ce petit circuit imprimé 22 est immobilisé sur l’arrière du coffret au moyen de l’entretoise isolante 19 et de la vis 18.

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