La volonté à une grande importance en tant que phénomène moteur des actions, ça rend les choses intéressantes dans le sens ou il ne serait pas qu'intelligement réactif. Des initiatives, un monde "intérieur", la capacité de planifier, tout cela approche une PA d'une psyché humaine. Leur découpage en structure et mécanisme peut être simplifié si on se fie à diverses théories socio-psycho-philosophico- etc... Comme les théories que j'étudie actuellement pour ma seconde sess' en sociologie de la connaissance, ou on décrit notamment la pensée humaine comme une simple interaction entre la mémoire et des stimulis, en déconstruisant notamment l'opposition entre extériorité du monde et intériorité psychique. Dans cette optique, il décrit les émotions comme des propriétés particulières de l'objets, n'étant pas dans l'individus mais vraiment dans l'objet, et soumise à une interaction plus forte avec la psyché que la couleur ou la forme de l'objet par exemple, qui varient moins dans leurs définitions communes.
Il inverse la logique commune de la pensée et démontre comment ça se déroule pour en arriver là, ce qui me semble être une grosse piste pour créer des lignes de codes qui s'occupent de cette dimension dde l'esprit.
Enfin, je m'égare un peu, même si les émotions et compagnies sont importantes pour humaniser la PA, des choses plus pragmatiques doivent être inscrites dans son programme. C'est là le coeur de mon sujet.
Admettons qu'on programme un but dans un robot, un but lointain et complexe, à la fois atteignable et inateignable. L'instinct de reproduction par exemple, le robot chercherai à se reproduire, et il faudrait nuancer ce but pour qu'une fois atteint, il le fasse de manière illimitée, sinon il se désactiverait.
Cela l'humaniserait, les comportements téléologiques sont communs, mais si on les rend plus complexe ils deviennent typiquement humains. Par plus complexe j'entend que je robot va devoir savoir que si il veut se reproduire, il doit se procurrer des pièces détachées, et donc de l'argent, et donc travailler, etc.... Avec les aménagements lié au fait qu'on parle d'un robot et que donc sa façon de cheminer sera différente vu qu'il est en métal, qu'à priori la reproduction sexuée n'estp as pour tout de suite chez les robots, etc...
Donc il faudrait lui donner un but " final" et la capacité de concevoir la succession de but, de leur donner une hiérarchie, comme sous accomplissements nécessaire à l'objectif. Je suis pas expert, mais ça m'a l'air programmable ça!

Je reviendrais répondre ou éditer selon le mouvement du post, là j'ai du boulot, mais ne croyant pas au libre arbitre, je m'apprete surement à pondre un concept ultra mécanisant. Si quelqu'un croit au libre arbitre comme structure autonome, et non pas résultant illusoire d'une série de sous programmes, j'apprécierai qu'il vienne ici en débatre, ça rendrait surement tout ça beaucoup plus productif!
a tt' la room