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Il y a 57 élément(s) pour Zénon (recherche limitée depuis 09-juin 13)



#113673 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 29 mai 2021 - 01:41 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Merci Sandro, je n'ai pas tout lu (2 heure du matin), mais il me semble que je vais mieux comprendre. Je me suis levé pour vous écrire que je me suis lamentablement planté avec le simple inverseur.

Si j'ai une réaction en deux forces égales et opposées qui s'appliquent sur des engrenages dont les rotations sont elles aussi opposées. Alors ces forces s'additionnent pour donner un résultat mathématique positif. Et je n'ai rien équilibré du tout.

Bonne nuit, A+




#113674 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 29 mai 2021 - 11:08 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Je vais schématiser toutes tes explications Sandro, afin de bien les comprendre.

Logiquement, c'est bien de mon coté que devrais ce trouver le Hic, s'il n'y a que moi qui n'ai pas synchrone avec vous.

J'espère ainsi m'apercevoir ou je décroche par rapport à vous, car dans l'ensemble je suis d'accord avec vos explications. Ce qui est paradoxale.

Quoique les paradoxes existent en physiques, c'est simplement parce que  la bonne explication ou compréhension n'est pas au rendez vous.

A+




#113670 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 28 mai 2021 - 09:17 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

 

Tout d’abord, j’avais cru comprendre que le TEER équilibrait la réaction à la motricité. Vous me dite que ce n’est pas le cas. Bien qu’un couple mécanique sur l’axe noir s’appliquerait simultanément en opposition à lui-même, sur la couronne et sur le porte-satellite du réducteur Rb ou inévitablement dans le TEER. Cela me laisse perplexe.

Dans ce cas le TEER ne sert à rien. Je vais quand même répondre par respect et reconnaissances pour tout l’investissement en temps et en patiente que vous avez eu à mon égard.

 

Pour répondre à Mike118.

Mon système ne génère pas d’énergie. Si tu considère qu’il en génère, alors il faut aussi que tu considère que les systèmes à contrepoids génèrent de l’énergie. Ce qui n’est pas le cas.

Oublions le (Rf) qui perturbe notre compréhension et nous oriente vers un (coefficient magique).

Avec les systèmes à contrepoids nous utilisons une énergie de déséquilibre, bien inférieure au déplacement de la charge, exp : roue de Falkirk, 22.5 KW utilisés pour mettre en mouvement 490.5 KW. Là je ne pense pas me tromper.

Avec le TEER, j’utiliserais 5% de KW pour mettre en mouvement (résistance de l’alternateur en charge) 95% de KW. Je ne vois pas de différence dans la similitude.

Bien entendu si le TEER équilibrait bien la charge, ce que tu écrits ne pas être le cas.

Donc pas d’équilibre dans le TEER. Tout est faut depuis le début est (ça n’apporte rien).

 

Pour répondre à Forthman.

Je suis d’accord, l’équilibre de la roue de Falkirk n’aident pas les moteurs, pour le TEER aussi. Je vais donc m’expliquer autrement.

Dans le TEER Les moteurs seraient dimensionnés pour permettre de mettre en mouvement (l’ensemble) qui est l’alternateur et pour palier aux variations dans l’équilibre de la charge.

Comme dans tout système, dans le TEER la plus grosse consommation aurais aussi lieu au démarrage et à l’arrêt.

Merci pour le lien très intéressant, mes compétences ne me permettent pas de déterminer tous les calculs depuis, (extractions des matériaux, concept, fonderie, usinage, fonctionnement et accélérations …). Cependant en comparent ce qui est effectif et ce qui en est une idée similaire, je peux tirer des hypothèses probables. Ce que j’ai fait en comparant en fonction de mes compétences la roue de Falkirk et le TEER. Comparaison effectivement en statique (bien que les puissances soient de l’énergie par seconde), qui n’empêche pas la roue de Falkirk de fonctionner. Cette réflexion n’est valable que si le TEER équilibrait la réaction, ce qui n’est pas le cas comme me l’a écrit Mike118.

 

Pour répondre à Sandro.

Si j’ai bien compris ta démonstration et que je l’applique aux systèmes à contrepoids.

Je prends S= (moteur + système à contrepoids)

J’applique le même raisonnement, je devrais donc arriver au même résultat. Ce qui voudrait dire que les systèmes à contrepoids serait un échec ce qui n’est pas le cas.

Je continue mes explications pour lever, il me semble, une éventuelle incompréhension.

 

En comparant les systèmes :

 

TEER :

Entrée moteur j’ai 1 KW. Sortie moteur j’ai 0.8 KW.

Entrée TEER j’ai 0.8 KW qui déséquilibre 14.5 KW (dans l’exemple pris)

 

Roue de FALKIRK : je suppose le rendement des moteurs de 80%

Entrée moteur j’ai 28.125 KW. Sortie moteur j’ai 22.5 KW.

Entrée système contrepoids j’ai 22.5 KW qui déséquilibrent 490.5 KW

 

Je ne vois pas de différence.

Bien entendu c’est en considérant que le TEER équilibrait la charge de façon similaire aux systèmes à contrepoids. Ce qui n’est pas le cas.

 

En résumé : vous m’assurez que le TEER n’équilibre rien du tout. Je vous croix, reste pour moi les deux questions :

Pourquoi ne pas me l’avoir dit avant ? Quoique la réponse ne m’avancerait pas à grand-chose et de plus vous me l’avez peut être écrit et je ne l’ai pas compris.

Et surtout, pourquoi l’équilibrage du TEER est un échec ? Alors qu’un couple mécanique sur l’axe noir s’appliquerait simultanément en opposition à lui-même, sur la couronne et sur le porte-satellite du réducteur Rb ou inévitablement dans le TEER.

Tout échec est positif si on sait en tirer un enseignement. Ma conclusion est qu’il faut que je simplifie le processus d’équilibrage pour qu’il soit en accord avec des explications simples pour parvenir à me faire comprendre.

 

Je m’oriente donc vers un inverseur relativement simple à engrenages droits, sans épicycloïde. Et je vais équilibrer l’effet mécanique de la réactance d’induit d’un alternateur à aimants permanents pour ne pas avoir de courant d’excitation à prendre en compte.

Inverseur simple.png

L’axe vert d’entraînement de l’alternateur, tourne en sens inverse de l’axe noir interne. Ces axes supportent, l’un l’induit et l’autre l’inducteur.

L’effet mécanique de la réactance d’induit s’oppose à la rotation. Cette opposition mécanique est crée entre les deux rotors. Elle va tenter d’immobiliser les deux rotors. En conséquence, chaque rotor recevra une force égale et opposée à l’autre. Car leur rotation de même valeur est de sens inversé.

Là c’est simple, même force, même vitesse de rotation de sens inversé, même diamètre des pignons aux extrémités du train d’engrenages, donc même puissance en opposition qui donne une somme mathématiquement nulle, bien que les puissances soient effectives.

 

Similaire aux systèmes à contrepoids qui équilibrent grâce à la gravité des énergies dont nous profitons du déséquilibre, par une énergie inférieure apportée. Aucune création ou destruction d’énergie. D’où vient l’énergie, du phénomène de la gravité avéré. Ce n’est pas l’énergie de déséquilibre qui est responsable de la gravité. L’énergie de déséquilibre n’est responsable que des pertes mécaniques.

De même le système envisagé équilibre grâce à l’induction (du à la charge) des énergies dont nous profitons du déséquilibre, par une énergie inférieure apportée. Aucune création ou destruction d’énergie. D’où vient l’énergie, du phénomène d’induction avéré. Ce n’est pas l’énergie de déséquilibre qui est responsable de la réactance d’induit mais bien la charge. L’énergie de déséquilibre n’est responsable que des pertes mécaniques et de ce fait du ∆t favorable à l’induction. Et le ∆t est une variation temporelle qui ne demande aucune énergie supplémentaire. J’en veux pour preuve : sans charge le ∆t est effectif et l’énergie de déséquilibre assume uniquement les pertes constantes. Petite parenthèse, les pertes constantes sont un peut plus élevées que les pertes mécaniques, mais n'évoluent pas avec la charge, d'où le nom de constantes. Cette petite supériorité des pertes n'invalide pas le raisonnement.

Je reprends des faits avérés que je laisse se manifester dans leur environnement habituel. Rien de sorcier ou de magique dans ce raisonnement.




#113655 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 27 mai 2021 - 05:49 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour Forthman et merci de ne pas m’abandonner.

 

Tout à fait d’accord avec toi, cependant, je bloque le système que dans un sens, celui de l’inertie qui s’équilibre sur elle même et je passe en mouvement rotatif. Donc plus de fin de course. C’est vrai qu’un prototype artisanal est moins performant qu’une fabrication de haute technologie. Je garde quand même 5% pour avoir une idée des espoirs de performance, car je pense qu’il nous reste une bonne marge. Si « Robot Maker » souhaite se lancer dans l’expérimentation j’en serais heureux. Comme je vous l’ai écrit, je n’ai aucune prétention de paternité ou autre futilité. Car une idée ne vaut rien tant qu’elle n’est pas expérimentée et je n’ai aucun moyen d’expérimentation.

 

Passons aux éventuelles applications et aux calculs des puissances en jeu.

L’axe de charge noir peut alors commander tous types de récepteurs, grues, palans, ascenseurs, alternateurs, éoliennes, centrales électriques …

 

Les systèmes à contrepoids équilibrent la gravité. E = (e - e) = 0. Les pertes mécaniques de ces systèmes représentent x% de la charge équilibrée E, dont la valeur est E% = 100% - x%.

Les 100% représentent l’énergie globale Eg qui se manifeste. C’est-à-dire Eg = E% + x%.

C’est physique, plus E sera élevé, plus les pertes seront importantes, il y a une influence de la valeur de E sur la valeur des pertes.

Exemple : pour la roue de Falkirk les 22.5 KW représentent les pertes nécessaires au déplacement des 490.5 KW d’énergie équilibrée ; Eg = 100% = 490.5 + 22.5 = 513 KW

Pourcentage de pertes mécaniques x = (100/513)*22.5 = 4.385965% ≈ 4.4%

Pourcentage d’énergie effectivement équilibrée E = (100/513)*490.5 = 95.6%

Pourcentage d’énergie globale Eg = 95.6 + 4.4 = 100%

 

Pour le TEER je considère le pourcentage de pertes mécaniques x à 5%. L’énergie E que le TEER devrait donc équilibrer serait 95%.

Si je prends une énergie globale 100% égale à 15 KW, j’obtiens :

Pour x = 15*5/100 = 0.75 KW

Pour E = 15*95/100 = 14.25 KW

Rendement alternateur 80%, => 14.25*80/100 = 11.4 KW puissance utile de l’alternateur

Rendement moteur 80%, => 0.75*80/100 = 0.9375 ≈ 1 KW = Pa moteur => 0.8 KW de Pu

 

Dans le schéma l’axe menant vert est du coté moteur vert (M) et l’axe de charge noir entraîne l’alternateur (Ge). Le TEER est en interface entre le moteur et l’alternateur.

Calculs puissances.png

Rapport de facilité primaire Rfp = 14.25/0.75 = 19 sans unité

Rapport de facilité secondaire Rfs = 11.4/0.75 = 15.2 arrondi à 15 sans unité

L’autonomie des robots fonctionnant sur accus serait multipliée par 15.

 

Avec deux TEER en cascade les 14.4 KW seraient les 5% de pertes du second TEER.

Es du second TEER, Es = 14.4/5*100 = 288 KW

Pu du second alternateur 288*80/100 = 230.4 KW

Rfp = 288/(0.75+14.4) = 19 sans unité

Rfs = 230.4/(0.75+14.4) = 15.2 ≈ 15 sans unité

Bien que les Rf restent les mêmes, la puissance utilisable en sortie est plus élevée.

Je ne considérerais le Rf de 230/1 = 230 sans unité qu’après les résultats d’une éventuelle expérimentation.

 




#113628 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 24 mai 2021 - 09:57 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Mon égalité de Cr ne me satisfait pas je vais l’étudier en partant de l’axe de charge noir que je déterminerais comme axe menant.

Je suis émerveillé par tes réalisations Mike118.

Vous avez raison, pour mieux expliquer je devrais utiliser le terme inertie plutôt que réaction.

Principe d’inertie : « En l’absence de forces, ou lorsque les forces se compensent un système est nécessairement soit immobile, soit en mouvement rectiligne uniforme. »

Les pertes sont effectivement augmentées dans mon système par rapport à un simple inverseur constitué d’un engrenage.

Cependant un engrenage reçoit en totalité l’inertie (ou la charge) de ce dont il doit modifier l’état physique d’inertie. Exemple : soulever une charge non équilibrée ou équilibrée par contrepoids. Dans le cas équilibré par contrepoids c’est plus avantageux.

Aucun système actuel, sans contrepoids, n’a les avantages de l’équilibre par contrepoids.

Mon objectif est d’obtenir les avantages d’un système à contrepoids sans avoir la nécessité d’un contrepoids. La solution logique est donc d’équilibrer cette inertie comme le ferait un contrepoids. Ce qu’un simple engrenage est incapable de faire.

Alors, oui j’ai augmenté l’inertie d’un simple engrenage inverseur dans mon système. Cependant si l’objectif est atteint, cette augmentation d’inertie (de mon système d’engrenages) est largement compensée par l’avantage obtenu, similaire aux systèmes à contrepoids sans leur relative complexité de mise en œuvre.

Autrement écrit, oui, Forthman, je cherche bien à équilibrer (la force de réaction) l’inertie de façon similaire aux systèmes à contrepoids, sans en avoir la complexité de mise en œuvre.

Pour l’inversion des flèches noires et rouges, il y a effectivement une raison, sauf erreur de ma part. Un dessin est plus compréhensible qu’une explication complexe, je vais donc te répondre par un (des) schéma(s) en essayant de représenter la rotation motrice et la réaction qui y est inévitablement de sens opposée.

 

Une fois résolue l’étape de l’inertie (ou réaction) équilibrée, je pourrais passer à l’application. Je prendrais alors en compte les rendements et j’ai la conviction que le résultat vous surprendra. Applications très intéressantes aussi pour la robotique.

 

En espérant avoir répondu à vos attentes.

 




#113675 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 29 mai 2021 - 06:14 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Voila la première partie de ma compréhension mises en italique bleu, en réponse au précédant message de Sandro en texte normale.

 

Si tu as plus d'énergie qui sort à l'instant t de ton système qu'il n'en entre, alors soit tu génère de l'énergie (ce qui est impossible), soit tu prélève cette énergie sur l'énergie interne du système (énergie cinétique, potentielle de pesanteur, chimique, ...).

Tant qu'il te reste de l'énergie interne au système, il est possible d'avoir plus d'énergie qui sort du système qu'il n'en entre. Ainsi, dans le cas d'un contrepoids, tant qu'il reste de l'énergie potentielle au contrepoids (ie tant qu'il n'est pas tout en bas), il est possible d'avoir plus d'énergie qui sort du système qu'il n'en entre (tu transforme l'énergie potentielle du contrepoids en énergie "utile", par exemple mécanique, en sortie. Par contre, dès que le contrepoids est en bas, plus moyen de retirer de l'énergie à ton système.

Tu peux ensuite remonter ton contrepoids si tu veux, mais ça te demande la même énergie que celle que tu as libérée pour le faire descendre (+ les pertes).

Donc au final, tu peut "créer" de l’énergie utile pendant un court laps de temps (en consommant de l'énergie potentielle), mais si tu veux recommencer, il te faut recharger l'énergie potentielle, ce qui te nécessite de l'énergie.

Je suis tout à fait d’accord avec toi pour un système considérer fermé. Considéré fermé, car aucun système n’est réellement fermé.

3 précisions :

_ Dans le système à contrepoids, l’énergie apportée pour déséquilibrer n’est pas l’énergie dont on profite (utile) par le fait du déplacement des poids.

_ Je préfère utiliser le terme profiter de l’énergie (potentiel) utile que le terme « créé ».

_ Dans ce cas nous sommes bien limités par la distance et dépendant de la gravité. Dans l’absolu, si la distance était infinie et la gravité toujours présente, nous profiterions indéfiniment du déplacement des charges, donc d’une des énergies d’un des (e). Mais je suis d’accord cela est effectivement impossible.

 

Sur un système à contrepoids, sur un temps court, tu veux avoir une libération d'énergie.

Supposons que pendant une durée t1 (le temps de la descente du contrepoids), on arrive à libérer une énergie utile E1

Ensuite, deux possibilités : on remonte le contrepoids a sa position initiale : cela nécessite un apport d'énergie énergie E2>=E1 : une fois le contrepoids remonté, on a récupéré E1 utile mais consommé E2 à apporter : au final, on a du injecter au moins autant d'énergie dans le système que ce qu'on récupère : on ne produit donc pas d'énergie.

Je comprends, c’est OK.

 

Seconde possibilité, le contrepoids reste en bas. On a récupéré une énergie utile E1 (finie), mais l'énergie potentielle du contrepoids est consommée. On a simplement transformée l'énergie interne en énergie utile. A noter que c'est nullement en contradiction avec mon affirmation que Pmoy=0 (rappel, Pmoy est la moyenne sur un temps infini de la puissance sortante - la puissance entrante). De 0 à t1, on a une puissance moyenne P1=E1/t1>=0 qui sort du système. Mais ensuite, plus rien ne sort. Donc la puissance moyenne sur un temps infini est Pmoy = (t1*P1 + 0)/(t1 + infini) = 0.

Je commence à décrocher.

Précision : l’énergie (interne) qui se manifeste pendant le déplacement des poids à pour origine externe la gravité. Mais elle se manifeste en interne, OK.

_ Pour P1=E1/t1>=0 je comprends. Après je ne comprends pas la nécessité du facteur infini.

Car toute action ou mouvement et inévitablement finie. Si on prend en compte l’infini, je pense que toutes les manifestations d’énergies dans un ∆t inévitablement fini, divisées par l’infini vont incontestablement tendre vers zéro. Je ne sais pas par quel chiffre on peut le représenter. Par un symbole oui, mais un chiffre, il faudra un temps infini pour l’écrire.

 

Prenons un cas plus concret : un ascenseur constitué d'une cabine de masse M, et d'un contrepoids de même masse M.

La hauteur totale est H, la cabine est à la hauteur h et le contrepoids à la hauteur H-h.

Un moteur sert à mettre en mouvement l’ascenseur dans un sens ou dans l'autre.

Supposons un cas idéal (ie pas de frottements).

 

Prenons le système S1 constitué de la cabine et du contrepoids.

L'énergie interne du système est :

Einterne= Epp_cabine + Epp_contrepoids + Ec_cabine + Ec_contrepoids, où Epp est l'énergie potentielle de pesanteur et Ec l'énergie cinétique (correspondant à une vitesse v).

= M * g* h + M*g*(H-h) + 0.5*M*v² + 0.5*M*(-v)²

= M * g * H + Mv²

On remarquera que la partie énergie potentielle (M*g*H) est constante, donc on n'a pas besoin d'apporter d'énergie pour compenser le fait que la cabine monter ou descende. Le moteur doit seulement fournir l'énergie pour accélérer l’ascenseur (Mv²) et compenser les frottements.

Pour freiner l’ascenseur, on peut utiliser le moteur en mode générateur (si l'électronique le supporte), et retransformer l'énergie cinétique (Mv²) en électricité (modulo les pertes). Une solution plus bourrine est de faire forcer le moteur contre le mouvement de l’ascenseur (pour freiner plus vite) : dans ce cas, on consomme encore de l'électricité, qu'on transforme en chaleur.

Donc excepté le peu d'énergie nécessaire pour compenser le frottement et accélérer/freiner l'ascenseur, on peut le déplacer "gratuitement". Pourquoi, tout simplement car l'énergie reste dans le système, et s'échange simplement entre les deux sous-parties (cabine et contrepoids).

A noter que dans l'absolut, le contrepoids est inutile : on pourrait utiliser le moteur pour remonter l’ascenseur (nécessite un moteur bien plus gros), ce qui consomme pas mal d'énergie (précisément M*g*H + pertes), qui excepté les pertes est intégralement convertie en énergie potentielle de pesanteur. On peut ensuite récupérer cette énergie potentielle de pesanteur en utilisant un générateur pour freiner la descente, ce qui permet de récupérer intégralement l'énergie potentielle M*g*H (modulo les pertes).

Donc pourquoi s'embêter avec un contrepoids "qui ne sert à rien"? Car un moteur plus petit (qui doit seulement soulever les personnes et accélérer la cabine) est beaucoup moins cher. De plus, utiliser un moteur en générateur complique beaucoup l'électronique, et les pertes sont plus élevées.

Ça je comprends aussi.

 

J’arrête ma tentative de compréhension à ce stade, par manque de temps. Je pense avoir bien avancé et j’ai l’espoir de trouver ou je décroche avec mon raisonnement en reprenant le même processus pour le TEER, bien qu’il ne doive rien équilibrer. Mais j’aurais au moins réussi à comprendre un aspect de la physique qui semble m’échapper.

A+




#113678 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 29 mai 2021 - 08:59 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Ok, Merci Sandro, je comprend mieux. Cela m'aidera quand je transposerais tout cela sur un hypothétique système qui équilibrerait la réaction.

Mais avant je terminerais la compréhension du paragraphe en résumé.

A+




#113824 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 01 juillet 2021 - 01:47 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

J'ai pris en compte les volants d'inerties de chaque rotor, pour garantir l'équilibrage à des rotations différentes . Non pour avoir un volant d'inertie qui n'est qu'une réserve qu'il a fallu remplir.

_ Si l’énergie cinétique des rotors est égale, l’équilibrage dynamique est réalisé.

 

_ Si l’énergie cinétique des rotors est différente, il y a déséquilibre dynamique.

Déséquilibre en faveur de la motricité, le système est en accélération. Augmentation des pertes mécaniques, le moteur devient générateur (actuel) et freine l’accélération.

Déséquilibre en défaveur de la motricité, c’est un échec de l’objectif. Le moteur doit assumer l’effet mécanique de la réactance d’induit (cas actuel).

 

C'est similaire au systèmes à contrepoids sous condition que chaque rotor a le même volant d'inertie.

Comparaison des systèmes à contrepoids (SC) avec le réducteur épicycloïde (RE).

_ SC => la gravité est divisée en deux poids égaux qui s’équilibrent.

_ RE => le couple mécanique de la réactance d’induit est divisé en deux valeurs égales qui s’équilibrent.

_ SC => En fonctionnement l’énergie de déséquilibre fait monter un poids, quand l’autre descend, E = e-e = 0. Cependant les énergies de (+e) et (-e) sont effectives.

_ RE => En fonctionnement l’énergie de déséquilibre favorise une force, quand l’autre est défavorisée, E = e-e = 0. Cependant les énergies de (+e) et (-e) sont effectives.

_ SC => L’énergie de la gravité à l’origine des poids, n’est pas prie en compte.

_ RE => L’énergie de l’induction à l’origine du couple mécanique de la réactance d’induit (pour bien comparer) ne doit pas être prise en compte.

_ SC => La genèse, unique énergie à l’origine, augmente son entropie dans le présent. Inévitablement dans les systèmes à contrepoids, l’énergie de déséquilibre de l’énergie E est comme E globale issue de la genèse.

_ RE => L’énergie de déséquilibre de l’énergie E peut donc être comme E globale issue de l’induction, à l’instar des systèmes à contrepoids. Le nombre de cycles est plus réduit, cependant le principe reste le même.




#113815 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 30 juin 2021 - 12:21 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Je m'explique autrement pour l'équilibrage du couple mécanique de la réactance d'induit.

explication équilibre.png

La force électromagnétique de Cr, influence les deux rotors (c’est points d’action) d’une valeur égale à Fr/2. Sous condition que les volants d’inertie soient égaux entre les rotors. Les rayons des satellites (r') et leur vitesse (Oméga prime )sont identiques

 

Fr/2 sur le rotor de couronne => Cr/2 = Fr/2*Rr*ω = 2Fr*Rr/4*ω = Fr/2*r’*ω’

 

Pour le rotor planétaire c’est un peut plus complexe, Cr réagit au (≠ω) = ω :

  1. Soit, l’on considère que le rotor planétaire tourne au (≠ω) = ω
  2. Soit, l’on considère que le rotor planétaire tourne à 2ω

 

  1. Fr/2 => Cr/2 = Fr/2*Rr*ω = 4Fr*Rr/8*ω = Fr/2*r’*ω’

Il ne peut donc pas avoir d’autre résultat que l’équilibrage de Cr sur les satellites ce qui donne Cr = Cr/2 – Cr/2 = 0. C’est similaire à E = e-e = 0

 

  1. (A la place de 1. lire 2.)  Fr/2 => Cr/2 = Fr/2*Rr*2ω = 2Cr/2
    • Nous avons un (des) problème(s) :
  • 2Cr/2 = Cr sur le planétaire => Cr/2 = 0 sur la couronne. Or, il est impossible que sur l’un des points d’action (les rotors) de Cr il n’y ait aucune réaction. Même sur la carcasse fixe des alternateurs actuels il y a une réaction à la valeur de Cr qui est égale et opposée à Cr. Ce fait avéré prouve que la réaction est égale sur chaque point d’action de Cr.
  • De cette égalité avérée, Cr devrait créer ou détruire de l’énergie pour rompre cette égalité, ce qui est impossible.
  • Chaque rotor reçoit une même puissance Pr/2 = Fr/2*Rr*(≠ω). Il est fondamentalement impossible d’avoir une puissance supérieure sur le rotor planétaire du fait de sa rotation à 2ω. Car cette rotation est inconnu (n’influence pas) les points d’action de la réactance d’induit. Une différence de puissance sur les rotors, implique une création ou destruction d’énergie par rapport au (≠ω) sur un des rotors, ce qui est impossible.



#113740 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 17 juin 2021 - 11:25 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Simplification pour équilibrer l’effet mécanique de la réactance d’induit.

L’ensemble est constitué d’un réducteur 0.5 épicycloïde non-inverseur, dont la couronne et le planétaire sont solidaires des rotors d’un alternateur supportant l’inducteur et l’induit. Le porte-satellites est fixe sur la carcasse. Entre la couronne et le planétaire le différentiel de rotation (≠ω) est = (2ω-ω) = ω

En charge, le couple mécanique de la réactance d’induit opposé au différentiel de rotation des rotors, fournit sur chacun d’eux une puissance opposée P = Cr*(≠ω)

Ces puissances se reportent en opposition sur le planétaire et la couronne de l’épicycloïde. Du fait de leur opposition, le couple mécanique de la réactance d’induit est opposé à lui même sur les satellites et ne peut influencer la motricité qui ne doit assumer que les pertes mécaniques.

Equilibre.png

Qu’en pensez-vous ?

 




#113698 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 09 juin 2021 - 12:47 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

J’ai un peu de temps pour vous dire que je suis aussi d’accord avec le résumé.

Et je comprends ou j’ai fait l’erreur. Dans le TEER (s’il équilibrait quelque chose) je ne dois prendre en compte que les forces équilibrées, sans m’occuper de l’origine de ces forces. Tout comme dans les systèmes à contrepoids ou l’on ne prend en compte que les poids et contrepoids, sans s’occuper de l’origine (la gravité) qui rend manifeste ces poids et contrepoids.

Dans ce cas avec le TEER (s’il équilibrait quelque chose) j’aurais le profit d’un coté qui correspondrait à sa contrepartie et le résultat mathématique serait nul, bien que les énergies seraient effectives des deux cotés.

 

Je garde mon objectif qui est de simplifier le TEER pour une meilleure analyse et une meilleure compréhension de mon raisonnement.

A+




#113622 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 23 mai 2021 - 05:13 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Voici mes corrections et l'éventuelle égalité E = e-e =0

Rotations modifiées en fonction de la vidéo de Forthman.

Rotation.png

 

égalité.png

Cr du planétaire noir (Rb) à (-ω), se reporte sur sa couronne avec les valeurs Cr*2(-ω) et sur son porte-satellites avec les valeurs (2Cr*ω). L’égalité est respectée. Cependant le sens d’orientation est inversé. De ce fait, l’addition de ces deux valeurs donne un résultat nul sur les satellites de (Ra). E = (2Cr*ω) + (Cr*2(-ω) = (e) + (-e) = 0.

Mathématiquement nul, bien que l’énergie de réaction soit effective.

 

Sauf erreur, je pense avoir atteint mon objectif.

 




#113610 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 20 mai 2021 - 04:28 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Merci Forthman et bravo pour la vidéo.

Je vais cogiter tout cela pour avoir l'équation E = e-e = 0, car maintenant c'est différent de ce que je pensais.

A+




#113469 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 03 mai 2021 - 10:29 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour Forthman,

 

Ok, merci pour les explications, je comprends mieux.

J’avais essayé de comprendre les réducteurs épicycloïdaux, mes c’est pas évident. Donc un réducteur ½ en épicycloïde est impossible si le porte-satellites n’est pas fixe. Je m’en remets à tes conclusions. Pour faire une parabole, c’est similaire à la quadrature du cercle.

Petite parenthèse : (d) est le rayon pas le diamètre, mais cela ne change rien à l’impossibilité.

Bon je revoie mon montage afin de trouver une parade, car j’ai acquis grâce à vous des connaissances supplémentaires. Je reviendrais certainement si vous le voulez bien.

Merci à vous d’avoir pris de votre temps à me répondre.

 

J’ai trouvé une parade aux soucis d’internet, pas simple en manœuvre mais apparemment efficace (pour l’instant ?).




#113473 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 03 mai 2021 - 06:15 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

C’est une bonne idée Sandro. Le retour est bien bloqué quand le cliquet et en appui au font de la denture du pignon. L’inconvénient est qu’en mouvement, quand le cliquet n’est plus en appui au fond de la denture, nous sommes en présence d’un système classique ou l’énergie motrice doit assumer la totalité de la réaction au mouvement (aux pertes près bien sur). Car la réaction n’est plus en appui au font de la denture. Ce que je recherche est une réduction de la réaction au mouvement pendant le mouvement. Similaire aux systèmes à contrepoids, mais sans limitation de distance et relativement indépendant de la gravité.

Je suis un vieil enquiquineur quand même. Pourquoi je me passionne pour cela, plutôt que de préférer la pêche ? Je n’en sais rien, c’est comme ça. C’est la raison de ma reconnaissant aux personnes qui veulent bien me renseigner et m’aider dans mes recherches.

 

Merci pour la doc Forthman et cerise sur le gâteau, le lien sur le calcule de l’épicycloïde est formidable. Il confirme ce que tu as écrit.

 

J’ai une confirmation de mes obligations (volontaires) du 14 mai, jusqu’au 15 juillet.

Mes messages seront plus épars entre ces dates. Mais mes loisir seront bien remplis, apprendre à maitriser le logiciel de dessins et revoir ma copie.

Faudra que je pense à mettre une goutte d’huile et à resserrer mes neurones car il commence à prendre du jeu.

A+

 




#113466 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 02 mai 2021 - 12:49 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Merci pour vos réponses.

 

 

Oracid pour l’intégration de l’image et le lien. J’ai jeté un œil, vraiment gratuit et en Français. Magnifique pour moi. Je vais apprendre et tenté de m’en servir. Oui, je pense que l’on peut dire que c’est un réducteur à 2 étages.

 

 

En partent du couple moteur vert, je suis entièrement d’accord avec toi Mike118.

Cependant, je recherche à avoir un couple qui passe dans un sens mais s’auto-bloque (ou s’auto-équilibre) dans l’autre sens. Comme une sorte de (diode) pour couple mécanique. J’y vois des applications intéressantes, mais une chose à la fois.

Plus précisément ma question est : Un couple sur l’axe des planétaires solidaires (oranges) pourrait-il se reporter sur l’axe vert ?

Sachant que :

_ Pour l’épicycloïde (1) nous avons le même sens de rotation (pas la même vitesse ω) imposé par l’appui sur la couronne fixe, pour l’axe vert et les planétaires oranges solidaires (axe orange).

_ Pour l’épicycloïde (2) nous avons un sens inverse de rotation (pas la même vitesse) pour le planétaire orange et la couronne verte. Couronne verte qui est aussi le porte-satellites (1) et l’axe vert, qui eux tournent dans le même sens que l’axe orange. Car l’ensemble a pour référentiel la couronne (1) fixe qui est aussi la carcasse.

Aux pertes près, les engrenages transmettent toujours la puissance qui leurs est appliquée. J’en déduis donc que le couple appliqué sur l’axe orange se retrouve en deux sens inverses avec des valeurs égales et opposées, (sur l’étage 1) donc auto-équilibré sur l’axe vert.

C’est là qu’est la question ou c’est la qu’est l’os ?

 

 

Bien vu Forthman, si l’axe orange n’est pas monobloc la sortie est bien en roue libre.

Mais les planétaires oranges sont bien mono-bloques pour la finalité de la (diode) mécanique.

Si j’ai bien compris tes explications :

Tu écris dans ton premier argument (le réducteur bleu ne sert à rien). Je l’utilise pour inverser le sens de rotation de la couronne verte par rapport aux planétaires oranges solidaires (axe orange). Ainsi en partant de l’axe orange (2), la couronne verte qui est aussi le porte-satellites vert et l’axe vert devrait avoir son sens de rotation inversé par rapport à la couronne fixe (1). En conséquence l’axe orange s’il est menant, devrait voir son couple auto-équilibré par l’assemblage et être incapable d’influencer l’axe vert.

Et s’il l’influence, quelle est la valeur de cette influence ? C’est là qu’est l’autre question.

 

 

Il est  possible que je ne vous réponde pas rapidement. J’ai actuellement des soucis avec Internet. Hier nous avons eu une interruption, donc soirée lecture. Cette après midi c’est pour l’instant fonctionnel.

J'ai écris trop vite, Internet me refait des siennes.




#113460 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 01 mai 2021 - 11:35 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Voici un lien sur les trains épicycloïdaux pour avoir une idée.

Train épicycloïdal - Bing video

Un autre lien sur les couples mécaniques

 

Tout réducteur ou amplificateur de vitesse de rotation est respectivement un réducteur ou amplificateur de couple, pour restituer l’énergie.

Il n’y a pas de mystère, exemple : si la rotation (ω) est doublée par (2ω), le couple sera divisé par deux (C/2). En fonction du cas : soit (C/2 = F*d/2 ou C/2 = F/2*d), pour garder la même puissance (ou énergie par seconde) : (P = C*ω = C/2*2ω). Contrairement à ce que pourrais croire Forthman, car je n'ai pas précisé que les faits avérés concernent les charges actuelles. Toutes les précisions viendront en temps voulu, une étape à la fois. Il est inutile de spéculer sur le futur, s'il dépend du présent encore non définit. Quoique c'est ce que font les économistes. A mon humble avis, c'est en partie une cause des problèmes de l'économie.

 

J’ai détaillé mon schéma dans la pièce jointe. Je l'espère plus lisible. Je n’ai pas essayé de mettre l’image dans le message, car la largeur me parait trop grande en fonction de la fenêtre du message.

Fichier(s) joint(s)




#113457 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 30 avril 2021 - 09:40 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour Oracid,

Merci de bien vouloir t'intéresser à ma requête et pour tes conseils d'utilisation du forum. J'en prends bonne note.

Petite parenthèse: Pour moi personne n'est nul. Tout est simple une fois que l'on a compris. Le premier homme qui a pris une pierre pour s'en servir de projectile était aussi intelligent que nous. La seule différence est qu'il n'avait pas un dictionnaire dans la tête.

J'admet que mes schémas ne sont pas très lisibles pour des personnes habituées à la 3D.

J'ai tenté de trouver des logiciels gratuits (retraite oblige) de dessins. Je n'ai trouvé que des logiciels incomplets ou trop complexes pour moi. J'ai réparé des micros et du soft, mais j'avais eu une formation et des outils puissants. Mes connaissances se sont arrêtées à Windows XP en 2009. C'est dire que maintenant je suis largement dépassé. De plus je n'ai jamais réussi à apprendre l'Anglais ce qui m'a et me pénalise toujours. Ceci écrit, ce n'est pas une raison pour baisser les bras. Si je peux pas faire, je prends ce qui est déjà fait pour me faire comprendre.

Je pense contourner l'obstacle en faisant un dessin plus explicite, en utilisant des comparaisons imagées avec des dessins en 3D que je (copie-coller) dans le schéma. Je pense ainsi pouvoir transmettre ce que j'ai voulu représenter.

Je vous demande un peut de patience, j'aide actuellement un ami dans ces travaux d'habitation. J'espère vous fournir cela avant le 15 mai, car après d'autres obligations m'attendent, ma femme et moi.

A la retraite! Je me demande comment on peut s'y ennuyer. C'est vrai que ci je n'avait pas une santé relativement correcte et que je serais diminué dans ma motricité, ce serait plus ennuyeux. Quoique c'est moins facile qu'à mes 60 ans, mais chaque chose en son temps. Je m'aperçois que à chaque époque de la l'existence peu correspondre une vie adaptée. Bien sur c'est plus facile moralement pour celui qui accepte le fonctionnement inéluctable de toutes choses, sans pour cela se résigner (d'où le mot adapté).

Bon, c'est pas la philosophie qui va me faire les schémas. Comme disait un de mes profs, la théorie c'est bien, mais faut pas oublier que quand les poules chantes, si on veux manger des œufs, il faut aller les chercher dans le poulailler. C'était à l'époque ou les poules n'étaient pas en batterie.

Une dernière avant d'aller me coucher. Quand j'apprenais l'électricité je n'imaginais pas qu'un jour nous aurions des batteries de poules.




#113486 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 05 mai 2021 - 01:16 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

 

Ben oui Forthman, c'est dit autrement mais j'adapte mes explications en fonction de vos réponses pour vous communiquer la finalité correctement. Je pense ma position respectueuse vis à vis du forum. Quant aux réponses qui ne pourraient pas me plaire, croyez moi, j'ai dépassé ce stade et garde un esprit ouvert.

Il y a un problème de communication: Pour moi optimiser les pertes c'est les rendre plus efficaces, alors que pour toi c'est les rendre le moins efficace possible, ce auquel j'adhère. J'ai écris (réduire la réactance) j'aurais du écrire (réduire ces effets négatifs). Important je n'ai pas écris que la réactance était négative, car c'est un phénomène d'induction qui nous permet d'obtenir le courant induit.

Je sais que les pertes sont importantes. Cependant, dans un exemple comme la roue de Falkirk, il y a des engrenages dont les pertes n’empêchent pas le fonctionnement très avantageux, ou les engrenages des éoliennes.

engrenages éolienne.png

Je n’ai pas réussi à n’utiliser qu’un seul axe de charge. Je jette l’éponge et je m’arrange avec les deux axes de charges.

 

Je travaille donc avec deux axes recevant la même charge et tournant dans le même sens à des vitesses de rotation différentes. Je garde le rapport ½ du différentiel de rotation (≠ω) qui me sera utile par la suite.

Pour avoir la possibilité du rapport ½ avec le réducteur épicycloïdal, je suis les recommandations de Forthamn avec le porte-satellites fixe sur la carcasse.

Pour avoir le même sens de rotation entre la couronne et le planétaire, je double les satellites sur le même porte-satellites fixe.

 

Résumé : Rapport ½ en rotation avec le même sens de rotation et un (≠ω = à ω).

Le couple moteur peut faire tourner les axes de charge.

 

Si une charge (ou réaction) applique deux forces égales et opposées, sur chacun des axes de charge. Ces deux forces (flèches rouge) s’équilibreront inévitablement sur les deux satellites.

C’est mathématique, en considérant les sens de rotation des couples que ces forces imposeront sur les axes de charges, je peux écrire la formule des sens ainsi :

Couple moteur = (2+) et couples opposés sur les axes de charge = (1+) + (1-).

Ce qui donne => Σ = (2+) + [(1+) + (1-)] = (2+)

Ou couple moteur = (+) en conséquence Σ = (+) + [(1+) + (1-)] = (+)

Car si l’opposition est composée de deux couples égaux et opposés, inévitablement l’un des deux couples aura l’un des sens du couple moteur. Pour l’instant je raisonne (relativement) en statique.

Si l’image n’est pas asse explicite, je la compléterais.

Réducteur.png

De sorte que le couple moteur peut faire tourner l’ensemble des deux axes de charge sans être influencer par la charge. Il me faut donc pour récupérer ce (≠ω) du couple moteur, qui s’exprime sur les axes vert et bleu, que la charge (ou réaction) s’oppose à ce (≠ω).

 

Pour cela en première application j’utilise un treuil double dont les axes sont solidaires des axes de charge bleu est vert. Ainsi la charge est divisée en deux forces égales et opposées.

Les câbles doivent impérativement attaquer chaque treuil, de façon que les deux forces égales et opposées, se retrouvent respectivement sur chaque axe de charge diamétralement opposé.

Ainsi la charge même suspendue et sans couple moteur, est incapable de faire tourner l’axe moteur. Donc auto-équilibrage de la charge automatique quelque soit sa valeur.

Je suis toujours tributaire de la distance et de la gravité.

Double treuil.png

Quelque soit le sens de rotation, les explications précédentes restent valables. Ma réflexion pour la situation dynamique est la suivante :

Le signe (+) ou (-) de l’énergie développée par les deux forces résistantes se détermine en fonction du sens de rotation du couple moteur ou autrement écrit, de la montée ou de la descente. Sur les axes de charge (à couple réactif égaux) nous avons une énergie développée deux fois supérieure sur l’axe qui tourne à (2ω).

Résultat en situation dynamique le couple moteur devrait assumer la moitie de la charge.

Car la somme des puissances de réaction dans le réducteur est alors :

Σ = (+P) + (-2P) = (+P). Ici P représente la puissance de la résistance de charge en mouvement divisée par 3. Un P sur l’axe le plus lent et deux P sur l’axe le plus rapide.

Ma déduction est-elle exacte ?

Dans ce cas je dois diviser par deux le couple réactif de l’axe bleu, tout en gardant la même vitesse. Je pense avoir la solution. Je la prépare et vous en fait par. Cependant si je me trompe et qu’en régime dynamique vous en déduisez que la réaction sera auto-équilibrée, Dite le moi s’il vous plait.

 




#113501 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 06 mai 2021 - 04:52 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Je pense que c’est sur les satellites que la charge s’auto-équilibrerait, mais je peux me tromper. La formule générale est plus le résumé d’une déduction générale que je croix probable, sans certitude pour cela.

Ok pour le moteur de voiture, j’ai mis précédemment un lien sur ce sujet.

Ok pour la descente du crochet, c’est pour cela que j’ai préparé ce qui suit :

 

Les pertes mécaniques sont importantes. Cependant, je suppose que si l’on ajoutait par exemple, une boite de vitesse (deux vitesses seulement) à la roue de Falkirk, le système resterait avantageux. Donc une fois mon principe théorique établit correctement, je considérais les pertes et je suis sur que le résultat restera avantageux, si j'y arrive.

 

Pour diviser par deux, la force réactive transmise depuis l’axe horizontal bleu sur le planétaire du réducteur, j’utilise un système d’engrenage coniques que je dénomme le (carré d’engrenage). Tout les pignons on le même diamètre.

Détails carré engrenages.png

La force résistante de l’axe bleu horizontal, transmise sur le planétaire, aura la valeur de Fr/2, bien que le couple garde la même valeur.

Ainsi la réaction devrait s’auto-équilibrer sur la couronne ou axe moteur, par deux forces égales et opposées, ayant une valeur de couple égale, avec la même vitesse (ω).

La somme des couples : Σ = (+Cr*ω) + (-Cr*ω) serait mathématiquement nulle, bien que la réaction soient effectives.

Dans ces conditions similaires aux systèmes actuels à contrepoids, les pertes mécaniques du système d’engrenage, laisseraient certainement le fonctionnement avantageux, dans un ordre de valeurs relativement comparable. Ainsi je pense que la charge bien que suspendu ne devrait pas ce mettre en mouvement.

Double treuil.png




#113608 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 20 mai 2021 - 11:03 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Je pense avoir trouver la solution et je n'utilise qu'un seul axe de charge.

 

Le TEER associe 2 réducteurs 0.5 épicycloïdaux. L’axe vert est menant.

Schéma des rotations, en rouge le couple de réaction Cr.

Rotation.png

Le couple moteur sur l’axe vert, fait tourner (dans le même sens) la couronne du réducteur (Ra) à ω et son planétaire à 2ω. Ces rotations se reportent sur le porte-satellites du réducteur (Rb) à ω et sur sa couronne à 2ω. Si l’on se positionne sur le porte-satellite (Rb), on voit sa couronne tourner à ω et son planétaire noir tourner en sens inverse à 2ω. En conséquences, le porte-satellites (Rb) tourne à (ω), sa couronne (Rb) à (2ω) et son planétaire noir à (-2ω).

 

Auto-équilibrage de Cr (flèches rouge).

égalitéCr.png

Le couple de réaction (Cr), s’établit sur le planétaire noir de (Rb) à la vitesse de 2ω. Il se reporte sur sa couronne avec les valeurs (Cr à 2ω) et sur son porte-satellites avec les valeurs (2Cr à ω). L’égalité est respectée : Cr*2ω = 2Cr*ω. Cependant le sens d’orientation de (Cr*2ω) est inversé. De ce fait, l’addition de ces deux valeurs égales et opposées sur les satellites de (Ra) donne un résultat mathématiquement nul : (2Cr*ω) + (Cr*-2ω) = 0.

Mathématiquement nul (auto-équilibrage), bien que l’énergie de réaction soit effective.

 

Qu'en pensez vous?




#113514 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 08 mai 2021 - 08:13 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour à vous,

Merci Sandro, je dois me rendre à l'évidence, vous avez raison.

J'aurais du me rendre compte de cela par moi même. C'est comme le calcul, si l'on ne recalcule pas en sens inverse on passe parfois à coté de son erreur.

Je revois tout cela sous un regard différent et vous ferais par de mes conclusions positives ou négatives sur l'objectif.

Un Grand merci.




#113512 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 07 mai 2021 - 10:04 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Petite parenthèse : L’axe menant est l’axe brun. Je ne pense pas que ce soit rédhibitoire.

Vous m’avez induit un doute. Pour m’expliquer ce n’est pas non plus très intuitif.

Voici mon analyse pour le carré d’engrenage.

Un schéma est plus compréhensible qu’une explication. Le trait noir est le pignon fixe.

Détails rotation carré.png

Quand l’axe bleu est menant le résultat est identique.

Sauf erreur de ma par, le rapport des vitesses entre les axes brun et bleu me parait bien être 1/1

 




#113506 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 07 mai 2021 - 08:45 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

Merci Forthman de me guider.

Je n'ai pour l'instant pas le même avis. Cependant, vous avez plus d'expérience que moi dans ce domaine. Je revois donc ma copie et vous ferais par de mes déductions.




#113452 Réduire la réaction au mouvement (votre avis S.V.P.)

Posté par Zénon sur 30 avril 2021 - 01:44 dans Conseils et aide aux débutants, livres et kits en robotique

Bonjour,

 

Lavoisier : « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.»

 

Cependant une piste est à explorer : chercher à profiter de ce temps de transformation, sans assumer l’opposition directe avec l’énergie. Car dans toute transformation il y a une réaction, c’est l’énergie qui cherche un équilibre. La poulie avec contrepoids est un exemple remarquable. C’est le plus simple équilibreur de réaction avéré. D’autres systèmes à contrepoids existent, exemple les ascenseurs à bateaux semblable à la roue de Falkirk.

Il n’y a pas de création ni de destruction d’énergie, c’est simplement plus facile. Cependant ces systèmes sont tributaires de la hauteur et de la gravité.

 

Pour ce libérer de ces contraintes, la solution serait l’auto-équilibrage en continu de la réaction à 360°, sans limitation de distance et éventuellement être indépendant de la gravité.

 

Dans cet espoir j’associe deux réducteurs épicycloïdaux de rapport 1/2 chacun.

Le premier reçoit la motricité sur le prote-satellites, la couronne est fixe et le planétaire tourne donc deux fois plus vite que le porte-satellites.

Je solidarise les deux planétaires. Je laisse le second porte-satellite libre et je relie le premier porte-satellite à la couronne du second réducteur.

L’assemblage des deux réducteurs a donc : un axe moteur sur le premier porte-satellite et un axe de charge sur les planétaires.

J’ai formalisé dans le schéma en pièce jointe ( Réaction 0), la réaction de l’axe de charge auto-équilibrée sur l’axe moteur. Cependant j’aimerais avoir votre avis sur mes formules. Sont-elles correctes ?

 

Si oui, nous pourrons passer à la seconde phase qui est l’auto-alimentation, car nous aurons alors passé avec succès la première étape et je vous assure que pour la deuxième étape je suis sur de mon raisonnement, car il est basé sur des fait avérés.

 

Fichier(s) joint(s)