L’usage du polystyrène choc permet d’aboutir à de séduisantes réalisations. C’est toutefois une technique « relativement pointue » qui impose une solide expérience pour arriver à façonner et coller les nombreux éléments sans bavures. Les opérations de taillage des pièces, chanfreinage, perçage des trous et affinage des lumières présentent toutes des pièges. Aussi, vous pouvez profiter des technologies actuelles et en particulier le moulage sur des imprimantes 3D des éléments de base de notre projet. Bien que ma machine soit trop petite pour réaliser le coffret et le couvercle, rien n’interdit de vous fournir les fichiers STL et gco. Il vous sera ainsi possible de faire appel à un ami qui possède une telle machine, ou de prendre contact avec des prestataires sur Internet, ce type de service devenant banal. Les fichiers fournis dans le dossier répertoire <Documents> rangés dans le dossier <Fichiers pour imprimante 3D> ont été optimisés. En particulier celui pour le Couvercle a été modifié. Une lumière montrée sur la Fig.45 a été ajoutés en vis à vis de l’alvéole de rangement du cordon USB. La pièce étant moulée verticalement, ainsi il n’y aura pas les petites cloisons support qui auraient été impossibles à éliminer. La qualité du moulage est de 0.2mm conduisant globalement à une esthétique très correcte. Avec une densité de remplissage de 50% on obtiendra une rigidité et une résistance mécanique tout à fait acceptable avec du PLA. Il n’est pas question de compliquer la réalisation du coffret en imposant des pauses dans le moulage pour inclure les écrous prisonniers. Aussi les alésages sont prévus lices et devront être taraudés ce qui impose la possession d’un taraud Ø M3 et d’un « tourne à gauche », outillage qui n’a rien d’exceptionnel. Pour la Façade il faudra respecter l’orientation du moulage dans le fichier gco car elle conduit à une face bien plate et très peu de cloisons support pour l’assise de la trappe.
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