Hypothèse d’induction et forces dans l’alternateur bis-rotors (ABR) : À aimants permanents
A vide, les phénomènes d’induction sont identiques aux alternateurs actuels, avec des pertes en plus dans les engrenages.
e) Pour maintenir la rotation (ω), l’énergie motrice (Em) = (pertes constantes)
En charge, avec des pertes en plus dans les engrenages, les phénomènes d’induction sont identiques aux alternateurs actuels, mise à par les notations (2) et (6), remplacées par :
2.a) Ce (Cfcém) s’oppose à la rotation relative (≠ω) entre les rotors par deux couples, (CfcémV) sur le rotor vert et (CfcémB) sur le rotor bleu. Ces couples appliquent, pour CfcémV la force F et pour CfcémB la force F’. CfcémV = CfcémB avec la rotation relative (≠ω) en commun.
2. CfcémV opposé à (ω) sur le rotor vert à le signe mathématique (-).
2.c) CfcémV et CfcémB, se trouvent en opposition sur le planétaire noir en rotation (ω’) commune.
2. Leur somme (Σ) = (+CfcémB*ω’) + (-CfcémV*ω’) = 0
6.a) Les énergies motrices (Em) sont donc égales à :
Em = (pertes constantes) + ((+CfcémB*≠ω) + (-CfcémV*≠ω)) = (pertes constantes) + 0 = (≠ω) + 0
Les énergies motrices sont responsables du maintien du (≠ω) dont la conséquence est le (Δ) du (Φ) inducteur en un (Δ) de temps ou laps de temps, sans l’opposition de (Ec).
Le fonctionnement de l’ordinateur bis-rotors est ainsi facilité, en respectant les lois de la physique.
6. Pour maintenir (2ω), l’énergie du moteur vert (EmV) = (pertes constantes).
6.c) Pour maintenir (ω), l’énergie du moteur bleu (EmB) = (pertes constantes).
Faites tourner les moteurs de même puissance, M1 et M2 en sens inverse et ils ne pourrons pas tourner. Car leurs énergies ou puissances (qui est une énergie par seconde), s’équilibreraient sur le planétaire noir. Les moteurs se bloqueront mutuellement, sans faire tourner les rotors.
C’est la preuve que CfcémV et CfcémB, s’équilibrent dans les engrenages sans pouvoir influencer les motricités de M1 et M2.