Bonjour,
1) J’ai lu le lien et je n’ai pas réussi à voir ou il y a déviation volontaire du champ magnétique par lui même.
L’image du feuilletage des lames de fer doux, représente bien le flux B en vert et les boucles de courants de Foucault en rouge
Ce lien le précise plus clairement : Courants de Foucault — Wikipédia (wikipedia.org)
2) La valeur de la fcém est le couple mécanique qui s’oppose à la rotation sur l’axe de l’alternateur quand il est en charge. Je le précise peut-être pas clairement en tout premier paragraphe de mon document.
La fém et fcém sont des phénomènes physiques identiques.
Je me base sur le fait qu’une machine électrique transforme la force électromagnétique en travail ou énergie mécanique. Le processus est réversible.
L’axe d’un alternateur actuel reçoit la totalité de ce couple mécanique de la fcém. Cependant pour agir ce couple doit bien s’appuyer quelque par. J’ai précisé qu’actuellement si l’induit ou l’inducteur sont sur l’unique rotor, ce couple s’opposera te toute façon à la rotation sur l’axe de l’alternateur. C’est la preuve que ce couple (fcém) agit entre l’induit et l’inducteur.
Pour des raisons pratiques actuellement l’induit se situe sur la carcasse fixe reliée à la terre.
Je souhaiterais continuer de mettre fcém à la place de couple mécanique de la fcém, si vous n’y voyez pas d’inconvénient. C’est plus facile à écrire. Si vous ne le souhaitez pas dites le moi, je me plierais à votre volonté. L’essentiel est que nous arrivons à nous comprendre.
La fcém agit donc comme un ressort entre l’induit et l’inducteur.
Mettez un ressort entre le stator et le rotor d’un alternateur actuel, le rotor recevra la totalité de la résistance "R" du ressort.
Maintenant mettez le ressort entre les deux rotors de l’alternateur bis-rotors et chaque rotor recevra la moitié de la résistance du ressort. Qui serait tendu par le différentiel de rotation entre les rotors. Bien sur nous ne pourrions pas faire un tour sans faire des spaghettis avec le ressort. C’est pour comprendre le principe de fonctionnement et le fait que chaque rotor recevrait une force de résistance égale et opposée. Valeur de ces forces de résistance (R/2).
Pour neutraliser (équilibrer) les forces (R/2), je place les engrenages entre les rotors.
Les engrenages interdisent la rotation inverse des axes bleu et vert.
En conséquence (+R/2) + (-R/2) = 0
La résistance du ressort se neutralise (s’équilibre) dans les engrenages.
Plus correctement écrit nous avons dans les engrenages :
(Fm1 + R/2) + (Fm2 – R/2) = (Fm1) + (Fm2) = Rotation
Les engrenages tournerait avec la même puissance motrice nécessaire aux pertes mécaniques, car (+R/2) - (R/2) = 0 Mettons à la place (fcém/2) => (+fcém/2) + (-fcém/2) = 0
Bien sur plus (R/2) a une valeur élevée plus les frottements seront importants, comme dans toutes mécaniques.
3) Voilà pourquoi je souhaite garder le terme équilibré, car un équilibre n’existe que si les forces existent. Plus de force et le terme équilibre n’a plus sa place.
Que ce soit (R/2) ou (fcém/2), qu’ils soient équilibrées ou neutralisées, ils restent effectives et ne disparaissent pas. C’est le résultat de leur action qui se trouve équilibré ou neutralisé.
Actuellement, c’est l’unique motricité qui (équilibre, neutralise) assume, entre autre, le couple mécanique de la fcém. Ce n’est pas pour cela que nous n’avons plus d’énergie dans la charge.
Car l’énergie est à l’origine du (ΔΦ/Δt) inducteur est non à l’origine de la fcém.
C’est la rotation qui assure le (ΔΦ/Δt) inducteur et non la motricité. Bien entendu actuellement le moteur doit pour maintenir la rotation assumer les pertes constantes plus la fcém. Ce qui nous fait penser que l’énergie du moteur est à l’origine de l’énergie de la charge, car la fcém est aux pertes générales près, égale à la valeur du (ΔΦ/Δt) inducteur (sa source d’énergie) qui à besoin de la rotation pour exister.
4) C’est juste, j’utilise le terme fcém, car c’est la réaction opposée à l’action qui est la charge.
Fém et fcém, deux phénomènes physiques identiques, mais qui n’ont pas la même origine.
C’est comme action et réaction, deux phénomènes physiques identiques mais qui n’ont pas la même origine.
La réaction est bien entendu une conséquence de l’action. Mais sa valeur (effet, résultat) peut être différente en fonction de l’environnement sur lequel agit l’action.
Et pour les alternateurs l'action est la charge qui déséquilibre la fém (potentiel). La réaction est la fcém qui s'oppose au maintien du (ΔΦ/Δt) inducteur, en s'opposant à la rotation. Pour l'alternateur bis-rotors la réaction (fcém) s'oppose au différentiel de rotation. C'est à dire à la rotation relative entre les rotors.