Juste une petite remarque.
Sur la vue détaillée, on voit que le palonnier du servo a un prolongement assez long vers la banane (la portion de la sphère externe).
Cela occasionnera un effort latéral important sur l'axe du servo.
Pour l'éviter ou l'atténuer fortement, on a souvent recours à la solution du "bracket" et peut-être qu'il faudrait l'implémenter ici.
Il s'agirait de fixer une pointe en bas du servo, qui servirait de pivot pour une pièce qui suivrait le trait noir du dessin sur lequel est noté 115.18, et qui ensuite remonterait verticalement un peu avant le double trait du dessin pour rejoindre le prolongement du palonnier et former ainsi une sorte de "C" ou de "U" penché, qu'on nomme "bracket" en anglais.
Je ne sais pas si c'est vraiment necessaire, mais ça se fait souvent.
De toutes manières, ce n'est pas une priorité, car on peut l'ajouter à la fin.
Est-ce que les servomoteurs numériques se pilotent de la même façon que les servomoteurs classiques ?
Oui. La programmation est la même. J'en ai fait l'expérience.
Les servos digitaux ont un temps de réaction plus rapide et sont plus précis. A part ça, la différence ne se voit pas. Elle s'entend, car les servos digitaux ont généralement un petit buzzer interne qui fait du bruit quand le servo commence à forcer, alors que les servos analogiques sont silencieux. La précision des servos digitaux est parfois gênante, car ils essayent parfois d'atteindre une position inatteignable, et ils font osciller le palonnier de part et d'autre du but, donnant une vibration qui n'est pas souhaitable. Donc, personnellement, je préfère les servos analogiques bien qu'ils soient plus primitifs et moins bien considérés.