Opération cruciale car le nombre de liaisons à concrétiser avec le reste de la machine est considérable. C’est dans <08) Unité Centrale> que l’on trouve les quatre dossiers relatant cette étape. Bien que ne faisant pas partie de l’Unité Centrale à proprement parler, les photographies concernant les alimentations (Conjoncteur et Disjoncteur d’intensité.) sont incluses dans ce dossier, car leurs circuits imprimés sont assemblés sur la grande plaque verticale métallique.
A) L’HORLOGE.
Untité indispensable à tout ordinateur, IMAGE 262.JPG en montre l’aspect terminé, et souligne au passage en jaune l’importance de dégager tous les trous de passage des vis longues d’assemblage de la façade. Les vues IMAGE 263.JPG à IMAGE 266.JPG présentent le circuit imprimé de gestion de l’horloge. Sur IMAGE 261.JPG on peut observer le rotor des TRANSITIONS. Compte tenu du nombre de liaisons à réaliser, il est fortement recommandé de câbler couche par couche en commençant par la plus proche du support métallique et en terminant par celle de pilotage du moteur de sélection des états. La densité des fils est très importante, il faut impérativement soigner les torsades et veiller au moyen de « queues de cochon » à bien solidariser certains fils et surtout vérifier que tous les trous de liaison avec la face avant sont bien dégagés.
B) Le dernier C.I. de complément.
Ajouté tardivement à la machine lors de la découverte du Premier problème abordé en page 34 du document Présentation électrique 2.pdf ce circuit devait trouver sa place dans un endroit libre sur le châssis. C’est au final sous les circuits de l’Unité Centrale qu’une zone suffisante restait disponible. Les vues IMAGE 267.JPG à IMAGE 269.JPG sont largement suffisantes pour détailler cette phase ultime de mise en service et de mise au point de la machine.
C) Conjoncteur Disjoncteur.
Disposé verticalement en haut à gauche de la plaque métallique verticale, ce circuit imprimé visible sur IMAGE 284.JPG gère l’alimentation, et en particulier des deux boutons MA et AR. Détaillé sur les trois photographies d’IMAGE 270.JPG à IMAGE 272.JPG c’est l’un des tout premiers à avoir été réalisé pour protéger l’ensemble de la circuiterie contre les court-circuits intempestifs. Ce n’est pas lui qui gère les dépassements de courant électrique, mais il est chargé d’assurer la coupure d’énergie par l’entremise du petit relais bleu conçu pour des énergies élevées. Enfin, c’est ce relais de puissance qui sera également sollicité pour suspendre le fonctionnement de la machine en cas d’erreur de programme de type ER1 ou ER2.
D) Disjoncteur d’intensité.
Fonction vitale, ce module protège la machine contre les surintensités. Dans la pratique, ce sont surtout des courts-circuits intempestifs qui ont perturbé le cours du développement. En effet, les nombreux fils « volants » sur des plaques d’essai pouvaient se débrancher ou échapper des mains. Dans un tel cas vous pouvez être certain que la partie dénudée touchera forcément un composant de polarité contraire. Par ailleurs, que ce soit sur erreur de conception ou de branchement des nombreux fils sur les platines d’essai, il n’est pas rare du tout d’avoir provoqué involontairement (On s’en doute !) des courts-circuits dans les contacts des relais. Ce circuit imprimé à sauvé de nombreuse fois les composants critiques. Les IMAGE 273.JPG à IMAGE 280.JPG présentent pas à pas la réalisation de ce circuit indispensable avec de nombreuses vues en gros plan.
Provoquer volontairement une surintensité reste un passage obligé si l’on veut garantir le bon fonctionnement du disjoncteur. Cette vérification soumet le relais de puissance à un fort courant durant un court instant, c’est à dire le temps de réaction du système. Quand on déclenche le processus, la tension de 12V est shuntée par la résistance d’1Ω de mesure d’intensité. L’impulsion de courant est très courte mais avoisine 12A et le bouton poussoir n’est prévu que pour 3A. Il importe donc de limiter ce type de vérification uniquement lors des « grandes visites » de maintenance. L’efficacité du circuit de vérification du disjoncteur ne sera effective que si les lignes électriques servant à créer le courant de pointe soient réalisées avec des fils de forte section ce que montrent les trois photographies IMAGE 280JPG à IMAGE 282.JPG rangées à part dans le dossier <Test du DISJONCTEUR>.
E) Éclairage dans la Matrice.
Ouvrir un chapitre juste pour ce petit détail n’est pas très « rentable ». Aussi, bien que l’éclairage interne de la MATRICE ne soit en rien lié à l’Unité Centrale, ce chapitre est ajouté en « parasite » aux autres qui sont ici plus pertinents. Normalement, lorsqu’une feuille de programme glisse jusque sur les deux butées inférieures, elle doit se trouver correctement positionnée en hauteur. Il est toutefois sage de le vérifier, avant de verrouiller les leviers de pressage et d’activer un processus de déroulement automatique. Hors le haut du dispositif ne présente qu’une ouverture de faible largeur, et pour peu qu’il fasse un peu sombre dans le local, on ne voit pas grand chose. Aussi, les quatre LEDs de diamètre 3mm montrées sur IMAGE 284JPG à IMAGE 287.JPG éliminent radicalement cet inconvénient. Cette petite amélioration qualitative n’est arrivée que tardivement. Aussi, la seule place qui restait disponible se trouvait sur le circuit imprimé des palpeurs du haut. Ces quatre diodes électroluminescentes sont mises en série et présentent une consommation « ridicule ». Aussi, l’interrupteur qui permet de les éteindre n’est pas vraiment utile, on peut s’en passer.
09) Machine terminée.
Avec les images logées dans <09) Machine terminée> du dossier <Galerie d’IMAGES> on va faire un petit tour de « découverte du propriétaire ». Sur les photographies d’IMAGE 288.JPG, IMAGE 289.JPG, IMAGE 291.JPG et IMAGE 293.JPG la machine est dans sa configuration de transport ou de rangement, alors que sur IMAGE 290.JPG le protecteur est enlevé pour sa mise en service. Elle n’est pas entièrement opérationnelle, car la clef qui permet de libérer les efforts sur le pivot du BARILLET n’est pas dans son logement. Sur IMAGE 292.JPG le crochet double maintien en hauteur le levier de verrouillage du bas. Ainsi il ne dépasse pas du châssis et la machine occupe moins de place en profondeur pour la remiser. Sur la photographie d’IMAGE 291.JPG on distingue nettement le bouton poussoir protégé du RESET de la carte Arduino NANO, ainsi que l’inverseur qui active ou coupe l’éclairage dans le lecteur de feuilles perforées. Ces deux commandes sont situées sur le profilé qui lie rigidement le haut de la face avant au corps de la matrice.
La suite est ici.