Cette étape de la réalisation, comme toutes les autres, a donné lieu à diverses saisies préservées dans le dossier bien rempli <07) PUPITRE et Face Avant> de la <Galerie d’IMAGES> qui est organisé en quatre sous-répertoires que l’on va rapidement passer en revue :
A) PUPITRE.
Confectionné par mes techniques habituelles de matérialisation de coffrets électroniques en polystyrène choc, IMAGE 226.JPG en montre une vue de dessus. L’esthétique est directement fonction du bon centrage des trous de passage avec les boutons poussoir. Ce n’est pas si facile à satisfaire qu’il n’y parait, car le circuit imprimé d’IMAGE 219.JPG est immobilisé sur la semelle bien visible sur IMAGE 225.JPG qui elle même s’emboite sur le coffret d’IMAGE 124.JPG. L’assemblage étant effectif, il faut en outre que tous les boutons poussoir soient parfaitement soudés bien verticaux. L’expérience montre que plus le jeu entre orifice de passage et cabochon est faible, plus belle est la finition. Le coffret étant un peu long, il est préférable de renforcer l’ensemble par la présence de la petite équerre d’IMAGE 218.JPG dont les trous pour les deux vis d’IMAGE 223.JPG sont taraudés car inaccessibles de l’extérieur. L’équerre étant en aluminium, en serrant trop fortement une vis métallique on pourrait en arracher le filetage. C’est la raison pour laquelle les vis sont en Nylon et servent de « fusible » mécanique. Il sera en effet bien plus facile de remplacer une vis cisaillée qu’avoir à refaire entièrement cette petite équerre. La LED de la photographie IMAGE 220.JPG atteste du branchement correct du PUPITRE sur la DC37, et IMAGE 221.JPG présente l’ensemble achevé.
B) La façade.
Assurément une étape assez laborieuse du projet dont la difficulté réside dans l’usage de la plaque translucide d’IMAGE 227.JPG et d’IMAGE 228.JPG qui recouvre les sérigraphies imprimées d’IMAGE 229.JPG et d’IMAGE 230.JPG. Longuement explicitée dans le chapitre n°16 donné en page 30, on alèse les trous à la fois dans la plaque transparente et dans la plaque support en polystyrène choc de l’IMAGE 234.JPG. C’est sur cette plaque que l’on soude avec du diluant cellulosique le bossage l’IMAGE 231.JPG sur lequel s’immobilise le circuit imprimé de la diode électroluminescente rouge de diamètre 10mm montrée sur IMAGE 232.JPG. La vis de liaison qui fixe le petit circuit imprimé est de type F90 et sa tête ne doit surtout pas dépasser car elle est du coté étiquette. Comme elle ne doit surtout pas se desserrer quand on place l’écrou, le trou de passage dans le bossage est taraudé, et la vis est collée lors de sa mise en place par du vernis à ongle ce que montre IMAGE 233.JPG. Les photographies IMAGE 235.JPG à IMAGE 238.JPG présentent les étapes d’alésage des trous de traversée. Dès qu’un orifice de passage est terminé, on y introduit l’élément qui le concerne. Ainsi en contre-perçant chaque trou on assure la coïncidence entre les deux plaques, et surtout, par leur introduction on s’assure du montage simultané de tous les composants. Quand on parvient au résultat des IMAGE 239.JPG à IMAGE 242.JPG on peut vraiment « crier victoire ». Enfin, IMAGE 243.JPG à IMAGE 245.JPG sont relative au bridage du galvanomètre qui en assure son rétro-éclairage, alors qu’IMAGE 246.JPG prouve que le virtuel de l’ordinateur peut aboutir à une concrétisation très proche de ce que désire le concepteur. La lunette et l’aiguille sont façonnées dans une plaque d’aluminium de faible épaisseur … et de récupération !
C) Le support vertical métallique.
Pièce maitresse de la structure de la machine, il supporte la façade, les deux rotors et les divers circuits imprimés de l’unité centrale. La difficulté de conception réside dans le fait qu’il y a des composants des deux cotés, et qu’il faut pouvoir les assembler et les déposer à convenance, ce qui pose un problème sérieux de répartition. De plus, la motorisation des deux rotors impose des emplacements dictés par des raisons esthétiques de présentation du tableau de maitrise. La première étape consiste à implanter la motorisation des deux rotors, ainsi que celle des Switchs associés. Conduire cette opération avec précision est facilité par l’usage du petit outil en carton de la photographie IMAGE 247.JPG, alors qu’IMAGE 248.JPG à IMAGE 250.JPG montrent l’évolution des travaux. Le moment est venu de commencer l’assemblage des nombreux composants :
D) Intervenir sur la Face Avant.
Assembler les divers éléments et relier des connecteurs HE14 entre eux est bien plus commode quand la plaque est posée à l’horizontale sur le plan de travail. Encore faut-il pouvoir la retourner sans risquer d’abimer les composants. Une simple équerre comme celle d’IMAGE 251.JPG assemblée provisoirement avec deux entretoises de l’autre coté assurent cette protection. Tant que la plaque verticale n’est pas reliée rigidement à l’unité de lecture des feuilles perforées, il faut la maintenir rigidement avec la jambe de force temporaire d’IMAGE 252.JPG. Saisie aux débuts de l’intégration des systèmes, la photographie d’IMAGE 253.JPG montre que la Face Avant était maintenue en haut sur la plaque métallique par une petite équerre, mais simplement posée sur une boite en carton à sa partie inférieure. Cette pratique scabreuse a rapidement été remplacée par l’usage de l’outil d’IMAGE 255.JPG qui s’immobilise sur le STATIF. On aboutit à l’IMAGE 254.JPG nettement plus raisonnable. Bien calée par deux entretoises comme celles d’IMAGE 256.JPG et d’IMAGE 258.JPG l’ensemble est cohérent. On peut même à la demande déplacer la machine sans problème. L’outil utilise un profilé en équerre bien rigide, que montre clairement IMAGE 259.JPG. La mise au point et les essais de validation sont grandement facilités par le poste de travail d’IMAGE 260.JPG.
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