Notez dès maintenant que dans toute la description du coffret qui va suivre, les repères de la Fig.57 serviront de référence commune. Par ailleurs, les détails relatif au boîtier seront également repris dans l’ensemble de cette étude. Pour l’intégration des éléments, les repères de la Fig.57 sont numériques alors que pour le coffret, les dessins fournis utilisent des lettres. Par exemple sur la Fig.58 qui représente le couvercle vu de dessus, en A est représenté l’évidement qui permet de voir l’afficheur OLED.
En B nous avons la petite plaque transparente en Altuglas qui sert de « vitre ». Elle doit être dégagée sur son coté droit pour ne pas obstruer le trou C qui permet avec un stylet d’engendrer si on le désire un RESET sur l’ATmega328 en cours de mise au point du logiciel. Il importe de remarquer que les dessins fournis sont réalisés avec
rigueur et respectent avec précision les dimensions adoptées. Ils comportent intrinsèquement toutes les cotes de fabrication dont vous pouvez avoir besoin. Il suffit dans ce but d’imprimer le dessin, de couper la bande de papier qui en H fournit un réglet virtuel. Ce dernier permet alors de mesurer dans toutes les directions sur les dessins.
Quand on immobilise le circuit 6 sur le couvercle 22, compte tenu du fait que le gros bouton 8 talonne assez haut sur la tige cylindrique de manœuvre, la base du bouton
se trouve relativement éloignée de la surface supérieure de 22. Esthétiquement, cette jupe « trop courte » ne me plaisait pas. C’est la raison pour laquelle est collée sur 22 la plaque D qui cache alors l’écrou de liaison et sa rondelle d’appui. Les deux LED traversent ce bossage. En Z la LED semble interférer avec le couvercle. En réalité, nous verrons plus avant qu’il n’en est rien, car un chambrage est pratiqué dans cette zone. Du coup la plaque ajoutée D cache ce trou de dégagement pour la base de la LED. Les deux vis d’immobilisation du clavier 12 sur le couvercle 22 imposent les deux zones de dégagement latéral visibles en E sur le contour de la plaque D.
Comme pour la Fi.58 le dessin du coffret proposé ci-dessus devra être imprimé. Vous disposerez sur la Fig.59 de la vue de dessus, et sur la Fig.60 d’une vue en coupe. Les deux échelles graduées (Rouge et violette.) vous permettront à convenance de 
déterminer toutes les cotes qui caractérisent le prototype. En R il sera aisé de déterminer les coordonnées exacte du trou sur la face arrière par lequel traverse la vis de liaison du module HORLOGE / CALENDRIER. Sur le dessin de la Fig.60 on observe facilement l’agrandissement du trou qui en Z laissait croire à une interférence matérielle. Le fil rouge Q correspond à la ligne directement soudée sur 4 et qui s’insère dans la lyre femelle du bas sur le connecteur T. Notez au passage que l’orifice L pratiqué sur le flanc gauche du coffret, par lequel on branche la ligne USB ou la liaison avec une alimentation externe, semble réalisé en deux trous en α. Initialement c’était le cas. Mais pour diverses raisons techniques, comme bien visible sur la Fig.61, actuellement c’est une seule ouverture 25.
En observant la ferrite qui protège la ligne de programmation USB des parasites véhiculés par le secteur 220V, on peut se faire une idée précise de la « petitesse » de notre éphéméride électronique. Dans la version autonome dont il sera question plus loin, l’alimentation sur le connecteur 17 se fait en interne. Les fils de liaison sont masqués et protégés pas un petit morceau de carton en 26. Enfin, sur la Fig.62 présentant le couvercle retourné, on distingue en Z les lamages des deux trous de passage des LEDs, en C l’orifice pour l’accès au RESET, en G les deux trous pour la tête des deux boutons poussoir. En S sont visibles les trous de traversée des longues vis 13. Enfin, en 27 se trouve le trou de passage du canon du codeur rotatif incrémental. En 32 se trouve sur le couvercle un petit trou recevant l’ergot qui dépasse du canon du codeur rotatif pour l’empêcher de tourner.
Le chapitre suivant est ici.
