10) Mode affichage graphique.

Cliquant en standard sur le bouton central du capteur incrémental, et ce pour la majorité des fonctions, on invoque Mode affichage GRAPHIQUE dont le résumé des commandes est logé en dernière page de  pour accéder facilement à ce dernier. Le programme commence par afficher l’écran épuré de la Fig.36 dans lequel le cadre bleu est réservé pour figurer le ciel visible avec en 2 la ligne d’horizon H’H. Le bord droit du cadre en 3 est complété par les graduations et les valeurs des angles de hauteur. (-20° à +73°.) Pour pouvoir tracer la trajectoire du Soleil dans la partie visible, chaque pixel exige de nombreux calculs, imposant un certain délai de réaction de l’ATmega328. Pour éviter que l’on puisse croire à une « non prise en compte de la commande », le titre 1 dans le cadre jaune élimine tout doute à ce sujet.
Lorsque les calculs sont effectués, (Environ une seconde.) la courbe de la trajectoire visible est alors tracée en 6 comme montré sur la Fig.37 avec en 5 la date prise en compte pour le traitement. Ce sera celle simulée ou celle du jour courant en fonction du sens de rotation du capteur quand on explore le menu de base, ou de la page en cours d’affichage quand on clique sur le gros bouton. Notez au passage que durant cette phase de la procédure, l’heure affichée n’a aucune signification puisque la courbe est journalière.
Tournant le bouton du capteur incrémental dans un sens ou dans l’autre, on déplace latéralement un index 4 de repérage d’azimut. Immédiatement il se positionne comme en 9 sur la Fig.38 et la valeur de l’azimut correspondant est indiquée en 8. L’orientation horizontale est comptée en degrés angulaires en commençant par le Nord géographique et évaluée dans le sens horaire. En 11 se trouve l’azimut de 40° et en 12 celui de 120°. Chaque positionnement latéral de l’index engendre en 10 l’affichage de l’heure correspondante dans la journée.
Parcourir toute la largeur du cadre graphique pourrait s’avérer assez laborieux. Aussi, un coefficient de mobilité indiqué en 7 double chaque fois que l’on active dans ce mode le gros bouton central. Arrivé à x8, le coefficient est recyclé à x1. Il précise simplement de combien de pixels le curseur 4 se déplace latéralement sur l’écran OLED. Avec le coefficient de mobilité x8, en quatorze pas on balaye toute la largeur du cadre. À x1 l’azimut change de 2° angulaires en moyenne.
Activer le bouton poussoir FC- court fait alterner l’affichage entre le mode épuré et le tracé des lignes de repérage en hauteur complété des graduations azimutales. Par exemple sur la Fig.39 sont ajoutées tous les 10° les graduations en azimut en 16. En 14 sont tracées les trois directions cardinales se trouvant dans le champ visuel, repérées par leurs symboles respectifs en 13. Enfin, dans cette présentation détaillée, les hauteurs de +20°, +40° et +60° sont soulignées en 15 par les lignes horizontales composées de traits interrompus courts. Quand on change cette option, le curseur, l’azimut et le coefficient de mobilité sont effacés jusqu’à ce que l’on tourne le gros bouton, ou que l’on clique sur ce dernier.
Compte tenu des informations très intéressantes que présente le mode graphique, y faire figurer simultanément les trajectoires correspondant aux solstices et aux équinoxes s’invite presque naturellement. C’est la commande FC+ court qui se comporte comme une bascule et fait alterner l’affichage des trois courbes, ou la trajectoire journalière. Quand on valide l’affichage simultané des trois trajectoires, le délai de calcul avoisine cinq secondes. Comme dans ce mode déplacer le curseur latéral n’est pas valide, tourner le bouton génère un BIP sonore d’erreur. Pour bien montrer que le titre n’est plus significatif, il est remplacé par le texte 17 représentatif des informations présentes à l’écran. En 18 nous trouvons la trajectoire relative au Solstice d’Été. En 19 c’est le Solstice d’Hiver qui est représenté. Ces deux courbes matérialisent la zone maximale (Coloriée en jaune clair.) dans laquelle évoluera le Soleil au cours de l’année. Enfin en 20 se superposent la trajectoire de l’Équinoxe de printemps et celle de l’Équinoxe d’automne.

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