14) Dernière minute.

Rares sont les projets pour lesquels la dernière soudure marque la fin de la phase matérielle, c’est à dire où l’on a vraiment pensé à tout. On a beau analyser, vérifier, contrôler, passer en revus le moindre détail des schémas de câblage, généralement se glisse un petit lutin. Le détail insignifiant, facile à réparer mais … qui oblige à démonter les éléments les plus délicats à mettre en place pour corriger la vermine insidieuse. Ben ici aussi un gai luron est venu nous tourmenter. Si vous observez attentivement la Fig.12 vous constaterez la présence d’un petit connecteur à deux picots nommé GND (*) alors que l’astérisque ne devrait pas figurer et la couleur pour GND est bleue en standard. Quand le couvercle à été refermé, le logiciel de base dûment téléchargé, immédiatement l’ATmega328 à présenté un comportement étrange. Comme nous étions en phase de développement du programme, la ligne USB alimentait la carte Arduino UNO et brancher la ligne Alim Arduino était parfaitement inutile. Pour des raisons purement philosophiques elle n’était pas branchée. Dès que la fiche a été insérée dans la prise dédiée, le fonctionnement est redevenu normal, comme sur le banc d’essai. Une analyse de la situation a rapidement montré qu’il n’y avait pas de ligne GND entre le circuit électronique principal et la carte Arduino. Après réflexion, la solution envisagée consiste à ajouter en 1 les deux picots verts GND GND (*) et à souder, comme montré sur la Fig.43 un fil sur le picot de masse du connecteur ICSP 2 de la petite carte électronique. (Ayant un petit connecteur HE14 double, disponible, conserver les deux picots n’engage à rien bien qu’une seule broche soit en service dans l’appareil, autant le souder comme tel.)

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