Outre une minuscule carte Arduino NANO qui constitue le cÅ“ur du système, on se doute qu’il faut lui adjoindre une « tripoté » de composants pour mettre en Å“uvre le clavier, le petit écran OLED ainsi qu’une horloge locale et les dispositifs assurant l’interfaçage pour effectuer les mesures. D’une façon générale, les amateurs d’informatique qui débutent avec la famille des cartes électroniques Arduino, font leurs apprentissages avec l’incontournable module UNO. C’est par excellence un « KIT » extrêmement polyvalent parfaitement adapté à l’expérimentation. Gravitent dans cet environnement à base d’ATmega328 une kyrielle d’autres cartes plus ou moins puissantes et présentant des particularités alléchantes. Lorsque l’on désire réaliser un ensemble très petit, la carte NANO fait merveille.
Conçue pour présenter des dimensions vraiment petites, cette minuscule chose est réputée pouvoir remplacer une UNO sans avoir à modifier une seule ligne de code, réputée 100% compatible. Ben … non seulement c’est vrai, mais elle est au final plus puissante puisqu’elle met à notre disposition deux entrées analogiques de plus ! On la trouve ce jour pour moins de 3,67€ port compris et livrée à domicile avec son cordon de raccordement USB. À ce tarif, elle est moins onéreuse qu’un ATmega328 seul. Compte tenu de son coût, il devenait particulièrement tentant de vérifier les affirmations relatives à ses performances. Des recherches sur la toile préviennent que des clones de cette carte issus de Chine ne sont pas compatibles pour dialoguer avec l’IDE. D’autres signalent que le cordon de liaison entre la prise miniUSB et le P.C. est pourrie. Ces deux points se sont avérés en partie exacts. Sur huit exemplaires commandés, tous à la même adresse, deux cordons USB étaient défectueux : poubelle. (Les cordons, pas les NANO !) Par ailleurs, la ligne USB n’était effectivemant pas reconnue par WINDOWS. Toutefois, sur Internet, les fournisseurs de ces clones mettent à disposition le DRIVER propre à leur circuit intégré de dialogue USB logé sur leur version. Dès que j’ai installé dans WINDOWS ce pilote, une pure formalité, immédiatement l’IDE a établi le contact et les téléversements ont été immédiats. Premier test : Un gros programme qui saturait l’un de mes projets PICOLABO avec texte et LOGO en EEPROM. Pas de problème, le fonctionnement sur OLED a été immédiat. Alors, vu le prix d’achat de cette toute petit chose, qui est plus que compatible avec une Arduino UNO, franchement, si ce n’est pas pour enficher en gigogne un quelconque SHIELD, à mon sens il ne faut pas hésiter, et ce d’autant plus qu’elle est encore plus petite que BOARDUINO, alors pour « miniaturiser » elle confine au parfait.
D’une façon générale, je ne mentionne jamais les adresses de mes fournisseurs, dans un souci d’équité pour toutes les entreprises qui font du télécommerce. Je fais toutefois une exception pour cette carte Arduino NANO, dans le but de vous éviter de rencontrer un problème de dialogue sur la ligne série USB de l’IDE. Ayant commandé en deux années huit de ces cartes chez :
https://www.amazon.fr/dp/B00QPUEFNW/ref=pe_3044141_185740131_TE_item
je n’ai eu que de bonnes surprises. Oui, deux cordons USB étaient défectueux, mais vu le prix de vente de la carte, franchement ce n’est pas un drame. Si vous approvisionnez chez ce fournisseur, (Je ne touche aucune commission, vous avez sur ce point ma parole !) je joins dans un dossier <DRIVER USB2> le module dont vous aurez besoin, accompagné d’un petit fichier texte explicatif.
Attention : Vu que cette carte dispose de deux entrées analogique de plus que sa grande sÅ“ur la belle carte UNO, un programme qui les utilise ne pourra pas « tourner » sur cette dernière on s’en doute. Contrairement aux six autres entrées analogiques d’Arduino qui peuvent librement être conditionnées en sorties binaire, les broche A5 et A6 ne peuvent fonctionner qu’en entrée et n’ont pas de résistance interne de forçage de l’état « 1 ». Pour ceux qui se sentent concerné, est joint à ce didacticiel le petit complément séparé Carte Arduino NANO qui, se trouve dans le document des fiches techniques nommé 
. (Fiches individuelles plus conviviales qu’un regroupement en livret.)
Pour concrétiser une telle petite fiche, il faut imprimer le document au format classique A4. Puis, couper la feuille bien au milieu sur le trait central. Avec un bâtonnet de « colle U » enduire la surface de l’un des morceaux, (Et si possible coté non imprimé !) puis coller les deux éléments en veillant à orienter correctement le haut et le bas. (Que celle ou celui qui n’a jamais cloué, collé, vissé en inversant le haut et le bas me jette la première pierre … mais pas une trop grosse toutefois.) Il ne reste plus qu’à découper tout le tour à environ deux à trois mm du cadre extérieur et vous possèderez une fiche qui se range facilement dans le manuel d’utilisation de la station solaire. Bien que réaliser un livret ne soit pas compliqué, quelques conseils me semblent utiles, aussi le chapitre qui suit me semble le bienvenu.
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