Fonctionnellement, l’apparence de complexité de cette machine se résume à seulement trois unités fondamentales que l’on retrouve dans tout ordinateur ou microcontrôleur quel que soit sa puissance et ses performances. Une « Unité Centrale » qui gère et coordonne le fonctionnement de tous les « périphériques ». Une Mémoire de programme qui est chargée de conserver le comportement de l’ensemble par l’entremise d’un LOGICIEL. Enfin, pour pouvoir manipuler à convenance les variables traitées par le programme, une Mémoire Vive dont le contenu peut être modifié « librement et à l’infini ». Enfin, un « terminal » de pilotage indispensable pour assurer « L’interface Homme/Machine » faisant partie intégrante « des Périphériques ».
Reprenant la photographie de la Fig.2 qui a été surchargée par des tracés de contour colorés, la composition de la Fig.3 met en évidence les diverses unités fonctionnelles de notre machine informatique électromécanique. Paradoxalement, l’Unité Centrale est répartie dans l’ensemble du volume de notre exemplaire sous forme de circuits imprimés répartis au mieux sur la structure. (Voir l’encadré proposé ci-dessous pour l’origine du vocable U.C.) Sur cette image en marron est distingué le Statif rigide sur lequel sont immobilisées les divers modules fondamentaux :
La finalité de ce document vise à décrire en détails ces différents éléments, et surtout de vous préciser les méthodes utilisées pour les réaliser. Il ne se préoccupe que de l’agencement matériel et de la façon dont j’ai procédé pour créer les pièces et les assemblages les plus « critiques ». Le descriptif de la partie électromécanique, des schémas et des dessins des circuits imprimés est relégué dans le document Présentation électrique.PDF scindé en deux volumes.
La suite est de notre ouvrage se trouve ici : Performance de notre machine de Turing.
